Figurine 1967 Tom Simpson

18,75 € 

1967 Peugeot, Tom Simpson :
La figurine Française est réalisé en fonderie de Zamack, un alliage composé à 95% de Zinc naturel et recyclable à l’infini.  De Fabrication 100% Française, notre figurine est peinte à la main par Eric, notre choix des Géants de la route est purement affectif. Figurine livrée dans une très belle boîte Rustines. Dimensions de la figurine 5x5 cm.

 

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1967 Peugeot, Tom Simpson :

L'entreprise Peugeot entre dans l'ère industrielle en 1810 sous l'impulsion de l'empereur Napoléon Ier qui avait besoin de vêtir les soldats de sa Grande Armée: ces meuniers d'origine deviennent des transformateurs de coton à Audincourt à côté de Sochaux en Franche-Comté, puis se lancent dans la sidérurgie en mettant en œuvre une fonderie. Cette fonderie laisse la place à une fabrication de lames de scies. Le lion, emblème de la marque, est apparu pour la première fois sur les lames de scie Peugeot en 1847. Il symbolise alors les trois qualités de ces produits et plus largement des aciers Peugeot : dureté des dents, souplesse de la lame et vitesse de coupe.

 

L'entreprise fabriqua également des moulins à poivre ainsi que des moulins à café. Armand Peugeot s'interessa à la fabrication des bicyclettes en 1882, puis des automobiles en 1890.
La branche de fabrication des cycles est indépendante depuis mars 1926.

 

1992: pour faire face à la concurrence asiatique, les cycles Gitane, Peugeot et BH (Espagne) se rapprochent pour créer le groupe Cycleurope.

 

Plus à l'aise dans les courses d'un jour ou les courses à étapes d'une semaine type Paris-Nice, Tom Simpson ne réussit jamais complètement dans le Tour de France qu'il disputa à 7 reprises. Il termina à la vingt-neuvième place de son premier Tour, effectué au sein de l'équipe de Grande-Bretagne en 1960 (neuvième de la 1re étape clm à Bruxelles, troisième de la 2e étape à Malo-les-bains et de la 15e à Gap). Sélectionné à nouveau en 1961 au sein de l'équipe britannique, il abandonna sur chute dès la 3e étape. Sélectionné en 1962 au sein de l'équipe Gitane-Leroux, il s'empara du maillot jaune à l'issue de la 12e étape à Saint-Gaudens. Il le perdit le lendemain lors de la montée contre-la-montre de Superbagnères, puis termina le Tour à la sixième place. Absent en 1963, il participa à nouveau au Tour en 1964 comme leader au sein de l'équipe Peugeot, finissant à la 14e place, après avoir terminé deuxième derrière Jacques Anquetil lors de la 9e étape, à Monaco. Toujours sociétaire de l'équipe Peugeot-BP, il abandonna lors de la 20e étape en 1965 (6e à Saint-Brieuc, 9e au Ventoux) et de la 17e étape en 1966. Porteur du maillot arc-en-ciel en 1966, il s'illustra en terminant deux fois second lors de deux étapes consécutives, la 12e à Revel derrière Rudi Altig et la 13e à Sète derrière Georges Vandenberghe, en terminant à la 5e place du contre-la-monte de Vals-les-Bains, puis en s'échappant dans le Galibier lors de la 16e étape. Une chute sévère dans la descente du Galibier provoqua son abandon le lendemain. Leader de l'équipe britannique dans le Tour 1967, il avait terminé 7e à Roubaix (4e étape), 5e au Ballon d'Alsace (8e étape), 4e à Divonne-les-bains (9e étape) et 7e à Marseille (12e étape). Il était 7e au classement général, le 13 juillet au matin, au départ de la 13e étape Marseille-Carpentras par le mont Ventoux, qui lui fut tragique.